Le Earnest a un bon design et une bonne taille, bien qu'il soit formé par plusieurs sprites ensemble, ses animations sont étranges et exagérées, mais aussi drôles, étant aussi lent, surtout en se levant et accroupi, ce qui le rend manière étrange. Les deux rencontrent une figure mystérieuse avec le nom de Sigfried, qui a des raisons inconnues, mais il semble qu'il en sait beaucoup sur Hastur et son culte. dans Mega CD) nous dit que dans la décennie des années 30, un homme connu sous le nom Earnest Evans avait appris l'existence de trois anciennes idoles qui ont assez de pouvoir pour détruire la terre. Souvent, bien trop souvent, on voit le personnage partir en roulade alors qu’on cherchait à sauter, ou bien se coincer dans un mur, ou bien parvenir à escalader une plateforme à force de glitchs rappelant les premières heures de la 3D sur PC ou sur Playstation, ou bien rater avec une belle constance des actions normalement simplissimes. Wolfteam, pour sa part, a fait un choix qui se voulait visionnaire: composer chaque personnage d’une série d’éléments indépendants (par exemple: le torse et les quatre membres) qui bougeraient donc tous de manière fluide en s’adaptant au relief – un peu comme on peut le faire aujourd’hui pour un modèle 3D, mais en 2D. Dans mon cas, le taux de réussite de la manœuvre au terme de très, très nombreux essais aura été d’environ un sur quarante-cinq. Maintenant, beaucoup d'années plus tard, son petit-fils, Earnest Evans III, continue sa recherche de son grand-père pour sauver l'humanité de l'anéantissement total. Premier coup dans l’eau, donc.Le vrai problème, c’est que le fiasco de cette animation expérimentale ne se limite pas à l’aspect graphique. Earnest Evans (1991) ... Animer n’importe quel sprite, à l’ère de la 2D, était un travail qui ne laissait pas beaucoup de place à l’alternative: comme pour un dessin animé, il s’agissait de dessiner toutes les étapes de l’animation une à une, pixel par pixel, afin de pouvoir faire bouger tous les personnages du jeu. Dans les faits, on pense plutôt à une sorte de pantin désarticulé bougeant anarchiquement sans aucune logique et en dépit du bon sens le plus élémentaire. Afin de donner une idée de la catastrophe, un exemple typique: des crochets sont disponibles un peu partout dans le premier niveau afin que vous puissiez y accrocher votre fouet pour jouer les Simon Belmont… si vous y parvenez. À la fin de chaque phase, nous sommes confrontés à une confrontation avec un boss difficile à la fin de la phase. En-dehors de l’introduction (sérieusement rabotée pour l’occasion), n’espérez pas croiser ne fut-ce qu’un écran de texte pour vous expliquer l’intrigue: il n’y en a tout simplement plus.
Normalement, si l’on vous demande un jour de citer un archéologue célèbre doté d’un fouet et d’une veste en cuir, votre réponse devrait fuser avec la rapidité de l’évidence: s’il est un personnage qui aura réussi à inscrire son nom en lettres d’or au panthéon de la pop culture, c’est bien Si ce titre, référence au véritable nom d’un « Mr. Les choses deviennent assez tordues dans le gameplay. File:Earnest-cut7.png. Unlike most platformer titles on the Genesis/Mega Drive, the character Earnest Evans is made up of several sprites to give him a fluid ragdoll-like movement. Nous trouverons également des ennemis variés et bien conçus, dont certains sont comiques ou étranges. Oui, c’est mauvais à ce point-là. (Sound Lab Project), Studio Maple, Fût en érable, 6 plis - 5 mm, Anneaux de renfort Sound Focus, Accastillage chromé, Cercles 100% érable, Déclencheur MLS50A + B ""Linear Drive"", Peau de frappe: Evans G1 sablée, Peau de résonance: Evans Hazy 300,Tama LST1455H Sound Lab Snare, Caisse claire 14""x5,5"", Série S.L.P. Nous trouverons également des ennemis variés et bien conçus, dont certains sont comiques ou étranges. L’honnêteté force à reconnaître qu’on trouve également quelques très rares changements, comme la fin du premier stage qui a la mauvaise idée de vous obliger à courir au niveau inférieur sans aucune explication; décidément, le game design, c’était vraiment pas leur truc… Seule (relativement) bonne surprise: la musique a plutôt bien supporté la disparition du CD-ROM, et reste incontestablement l’aspect du jeu qui a le mieux vieilli.